Lire Mon royaume de vent
Lamartine, qui lui rendit visite dans les monts du Liban où elle avait décidé de vivre et de mourir, écrivait d'elle : « Ce fut les nombreuses tribus d'Arabes errants
qui lui avaient facilité l'accès de ces ruines, réunis autour de sa tente, au nombre de quarante ou cinquante mille, et charmés de sa beauté, de sa grâce et de sa magnificence, la proclamèrent reine de Palmyre, et lui délivrèrent des firmans par lesquels il était convenu que tout Européen protégé par elle pourrait venir en toute sûreté visiter le désert et les ruines de Balbeck et de Palmyre, pourvu qu'il s'engageât à payer un tribut de mille piastres... » (Chapitre "Visite Lady Esther Stanhope" dans le Voyage en Orient - un livre qui devait beaucoup à la plume de l'épouse de Lamartine, Mary Ann Birch, alias Elisa)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire