T. E. Lawrence n'aimait pas les femmes - on s'en doute. Il aimait encore moins les femmes qui écrivaient : " Toutes les femmes qui ont écrit des œuvres littéraires pourraient aussi bien être étranglées à leur naissance : l'histoire de la littérature n'y perdrait rien." Une phrase écrite alors que George Eliot (Mary Ann Evans de son vrai nom) avait déjà produit son oeuvre, que Edith Wharton était en train d'écrire Chez les heureux du,monde, et peu avant que Virginia Woolf écrive La Traversée des apparences... On peut se demander s'il n'eut pas mieux valu que Lawrence soit étranglé à la naissance plutôt que Virginia Woolf. Enfin... Pardonnons. Il oubliait sa misogynie quand il était avec Gertrude Bell. Après sa première rencontre avec elle, à Carchemish, en mai 1911, il écrivit d'elle : "C'est une femme qui a beaucoup de cœur et une tête vertigineuse." Ils seraient bientôt conduits à collaborer.
Citations trouvées dans Le rêve le plus long de l'histoire - Lawrence d'Arabie, Benoist-Méchin, Omnibus, 2011.
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Aventurières, voyageuses, exploratrices, globe-trotteuses... Elles existent, vous les avez rencontrées - peut-être en êtes-vous une.
Mais savez-vous qu'elles ont toujours existé ? Longtemps avant Alexandra David-Néel, longtemps avant Isabelle Eberhardt ?
En 1850, déjà... et même avant. Ida Pfeiffer, Isabella Bird, Gertrude Bell, Jane Dieulafoy... et tant d'autres. Ce blog leur est consacré ; aidez-moi à l'enrichir avec les histoires vraies que vous connaissez, et des questions auxquelles je m'efforcerai de répondre.
Mais savez-vous qu'elles ont toujours existé ? Longtemps avant Alexandra David-Néel, longtemps avant Isabelle Eberhardt ?
En 1850, déjà... et même avant. Ida Pfeiffer, Isabella Bird, Gertrude Bell, Jane Dieulafoy... et tant d'autres. Ce blog leur est consacré ; aidez-moi à l'enrichir avec les histoires vraies que vous connaissez, et des questions auxquelles je m'efforcerai de répondre.
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